De tout, de rien et parfois du linge sale lavé en public.
Confessions et tribulations d'une fille qui avait 18 ans lors du premier billet.
Un défouloir comme il n'y en a pas d'autre.

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lundi 31 août 2009

Rien de plus beau qu'un homme qui vous prend dans ses bras pour vous consoler...

[bords de Seine... by night ]

C'est comme si j'avais participé à un stage pour découvrir ce que je voulais vraiment.
Peut-être finalement, ai-je besoin de stabilité (en aurais-je douté ?), d'un amour unique, d'une famille et des enfants ? Mon esprit de contradiction fort prononcé me dit ne pas suivre les chemins conventionnels pour mieux apprécier ma liberté.

Ce qui m'a particulièrement marqué, c'était de constater à quel point je me sous-estimé, je n'avais pas confiance en moi et ne savais pas ce que je voulais...
Est-ce l'âge ?
Est-ce tant mieux ?
Est-ce dangereux, bizarre, déroutant ?
Ce qui me rend triste c'est de savoir qu'en repoussant les gens qui sont prêts à m'aimer, prétextant quelconque divergences, je me sentirais éternellement et profondément seule.

Doit-on choisir les gens qui nous entourent sur leur aptitude à nous aimer ou sur les affinités que nous aurions en commun ?

dimanche 9 août 2009

La vie nous ment et nous fait croire en la pérénité abolue de l'amour...

...et voilà c'est fini. J'avais crus pourtant que celui-là resterais plus longtemps que les autres.
Plus que d'avoir mal au cœur, j'ai mal à l'ego. Il m'avait fait oublié toutes mes histoires d'avant. De plus j'avais placé tellement d'espoir en lui, qu'il a dû plié sous son poids.
Cela dit je suis calme et je me méfie de l'eau qui dors.

Je croyais avoir trouvé une perle: il assumait pleinement mes délires excentriques, il prônait la sincérité et la franchise, il disait se sentir bien avec moi et m'aimer... oui mais jusqu'où ?

Et maintenant, volte face, une nouvelle personne trop lâche de me parler "entre 4 z'yeux", préférant user et abuser de messages vulgaires par le biais de l'horrible SMS...: je bannis la technologie Dieu des pauvres gens....

Je ne sais pas si je l'aimais...? Ces mots étaient devenus si facile à dire, si banal, pour moi qui "n'aimais" jamais personne...

Bien sur je suis attachée à toutes ces choses matérielles que l'on s'était promises : la piscine le vendredi, le collage du papier-peint de ma chambre, la semaine à Paris.

[...]

Je suis déçue. Je suis triste.
Je n'ai plus faim. Je n'ai plus soif.
Comme si j'étais en quarantaine de moi même.

(espérons que ma nouvelle vie en Angleterre aidera à oublier)