Cette nuit là m'a conforté dans ma décision et je me suis dit que ce que je faisais était trop bien.
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J'étais étudiante non parce que j'avais suivi la cadence (un peu comme en 2007-2009) mais par choix et ça c'est pas anodin de l’annoter (ah ah) et de le souligner. C'est là où je suis fière.
En Angleterre, M. m'avait raconter comment il avait repris les études plus tard en même temps que son petit frère et comment il ne l'avait jamais regretté. Je fait pareil. Frérot découvre la vie étudiante (à 700km, mais bon...) et moi aussi. C'est vraiment trop bien : aller à des concerts de beatbox blues, crier avec ses copines, manger des pâtes, vivre dans une "boîte à chaussure", faire de belles rencontre, ignorer les crétins et apprendre.
Outre la partie festive et insouciante de la vie étudiante, j'apprécie les chances qui nous sont offertes. J'entends par là que nous pouvons nous permettre d'être touche-à-tout, d'étendre notre champs de connaissances et d'appuyer notre légitimité dans le discours d'un sujet : aller au théâtre, faire de la radio, s'initier aux sciences humaines et j'en passe... C'est pas dans la "vraie vie" que c'est possible. Je sais de quoi je parle.
Vous savez, quand j'étais petit je voulais être archéologue. J'aimais l'art Égyptien, je voulais creuser dans la terre et trouver des inédits, je voulais apprendre et être curieuse. Bon, sans pessimisme aucun, je pense que c'est un peu tard pour s'y mettre. Par contre, la linguistique c'est pas bien différent. Comprendre la langue, l'émergence des différents parlés, l’étymologie, le mécanisme interne de la phrase... : la base de notre humanité pour ainsi dire.
"J, les ronds en papiers, c'était mon idée."
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