De tout, de rien et parfois du linge sale lavé en public.
Confessions et tribulations d'une fille qui avait 18 ans lors du premier billet.
Un défouloir comme il n'y en a pas d'autre.

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lundi 31 août 2009

Rien de plus beau qu'un homme qui vous prend dans ses bras pour vous consoler...

[bords de Seine... by night ]

C'est comme si j'avais participé à un stage pour découvrir ce que je voulais vraiment.
Peut-être finalement, ai-je besoin de stabilité (en aurais-je douté ?), d'un amour unique, d'une famille et des enfants ? Mon esprit de contradiction fort prononcé me dit ne pas suivre les chemins conventionnels pour mieux apprécier ma liberté.

Ce qui m'a particulièrement marqué, c'était de constater à quel point je me sous-estimé, je n'avais pas confiance en moi et ne savais pas ce que je voulais...
Est-ce l'âge ?
Est-ce tant mieux ?
Est-ce dangereux, bizarre, déroutant ?
Ce qui me rend triste c'est de savoir qu'en repoussant les gens qui sont prêts à m'aimer, prétextant quelconque divergences, je me sentirais éternellement et profondément seule.

Doit-on choisir les gens qui nous entourent sur leur aptitude à nous aimer ou sur les affinités que nous aurions en commun ?

1 commentaire:

Anonyme a dit…

"Doit-on choisir les gens qui nous entourent sur leur aptitude à nous aimer ou sur les affinités que nous aurions en commun ?"

Est ce vraiment impossible d'allier les deux?

Ne nous aiment-ils pas parcequ'on a des affinités communes?

J'ajouterais une question existentielle : avoir l'esprit de contradiction mène t il forcément à sortir des sentiers battus?
Et quand bien même, sortir des sentiers battus nous rend-t il forcement libre?

Nous vivons dans un monde établit avec des règles, que ce soit les droit de l'homme ou l'amour et les sentiments.
C'est avec ces règles que nous nous sentons libre.
S'il n'y a plus de règles, il n'y a plus de liberté. Passer outre les regles, devenir "border-line" c'est aussi un moule, une quantification de la population. Les gens à la limite font aussi partie des règles.
Se sentir libre est subjectif. Est on libre parcequ'on vit au grand air, parcequ'on peut pirater le site du FBI ou parcequ'on peut se démarquer de ses sentiments socio-amoureux? A mon avis on est seulement libre parcequ'on le croit et/ou parcequ'on le peut.
Donc, crois en la liberté, crois que tu es libre d'aimer, crois que tu es libre d'aimer aimer et la vie sera plus rose!


Et rappelle toi bien, dans la vie, l'adage "quand on veut, on peut" est souvent vrai, seulement c'est plutot le contraire qui devrait se réaliser : quand on peut, on veut. Malheureusement souvent ce n'est pas le cas. Je te laisse y réfléchir petite Justine qui s'achete un escalier pour le paradis.